PULSE
« connaître la vérité c’est en connaître la cause, on ne peut savoir la vérité si l’on ne connait pas la cause » (Artistote)
Un salarié sur 4 ne répond plus, ce qui masque les difficultés de certaines équipes. La direction présente de nombreuses actions pour y remédier, mais reconnaît qu’elle « doit mieux les faire connaitre et communiquer sur leur développement
La Cfdt souligne que plusieurs indicateurs restent dégradés, notamment en santé, bien-être, et esprit d’équipe, avec des situations alarmantes (prévoyance, secrétariat général). Elle déplore l’inaction face à ces problématiques et demande :
- Des résultats plus précis pour détecter rapidement les alertes, notamment dans les grosses équipes comme la DSC IARD (1 871 salariés), où des situations critiques sont connues mais masquées par d’autres bonnes performances.
- Des résultats plus précis pour détecter rapidement les alertes, notamment dans les grosses équipes comme la DSC IARD (1 871 salariés), où des situations critiques sont connues mais masquées par d’autres bonnes performances.
Malgré une baisse de 30 % du nombre de verbatims, la Cfdt note une restitution plus sincère que lors des précédentes enquêtes, avec des problématiques récurrentes (simplicité, outils, charge de travail). Elle insiste sur le fait que trop de consultations, de réorganisations et un manque d’écoute épuisent les salariés qui ressentent une remise en cause constante de leur métier, sans reconnaissance.
Certains managers dédouanent la situation en imputant les mauvais résultats au mécontentement des salariés suite à l’échec des dernières négociations salariales.
Pour la Cfdt , il est temps que chacun accepte ses responsabilités. Et même si des actions sont mises en place, tout ne va pas bien chez AXA France, loin s’en faut !
La direction nous assure que tous les périmètres, tous les managers sont mobilisés sur des plans d’action dont… nous malheureusement nous ne percevons pas à ce stade les effets positifs.
Malgré les belles intentions affichées, la Cfdt s’interroge toujours sur la véritable capacité de la direction à entendre ses salariés.
En résumé, la Cfdt regrette que ces enjeux ne soient pas traités de façon sincère et approfondie, malgré la volonté affichée de préserver le bien-être des salariés.
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