Le point qui bloque
La prise en charge partielle de l’abonnement annuel aux transports en commun n’a pas été intégrée.
L’accord ne séduira donc que les utilisateurs inconditionnels du vélo ou de la trottinette, tandis que les autres continueront à privilégier la prise en charge de l’abonnement transport. On passe ainsi à côté d’une occasion de faire basculer massivement les salariés vers les mobilités douces.
Pourquoi la CFDT signe (malgré tout)
Malgré cette lacune, la CFDT a choisi de signer l’accord afin de ne pas freiner une dynamique positive pour la santé, l’environnement et, plus largement, conforme aux évolutions de société. Les progrès obtenus sont concrets ; le combat pour une prise en charge des abonnements se poursuit.
Un pas important est franchi (budgets rehaussés, versements simplifiés, process amélioré), mais l’accord n’atteint pas pleinement son objectif sans la participation aux abonnements annuels de transport. La CFDT reste mobilisée pour parfaire ce dispositif.