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Auteur/autrice : Isabelle Ollivier

Bilan des opérations exceptionnelles IT

En septembre et en novembre, l’activité est fortement liée à l’exercice budgétaire d’AXA France.
Les + 20% d’astreintes sont directement liés au programme Cloud, qui nécessite une migration massive et urgente pour éviter des amendes d’IBM avant la sortie de leur infrastructure.

Environ 693 personnes différentes ont effectué des astreintes, certaines en faisant plusieurs.
Ces astreintes sont sur la base du volontariat, si aucun volontaire n’est trouvé, l’opération est reportée. Malgré un délai de prévenance généralement d’un mois, certaines astreintes sont planifiées à la dernière minute. Actuellement, les métiers d’AXA France insistent pour que les outils ne soient pas perturbés en semaine pendant les heures d’utilisation, conduisant à une augmentation des opérations exceptionnelles le week-end et en soirée. Cela implique souvent un arrêt complet de l’outil. 
Les collaborateurs ont le choix entre une compensation financière ou la récupération des heures.

La Cfdt renouvelle sa demande de revalorisation des Opérations Exceptionnelles et des HNO (Heures Non Ouvrées) car l’accord qui les régit date de 2018 et n’a jamais été revalorisé.
La Direction élude la question en affirmant que la négociation n’est pas du ressort de cette instance.

Elle estime aussi que cet accord était avantageux financièrement lorsqu’il a été mis en place en 1998, et que la question de sa revalorisation n’est pas à l’ordre du jour.

La complexité des astreintes est évaluée en amont, et le nombre de collaborateurs engagés est déterminé en conséquence.
Le nombre maximum de personnes impliquées dans une opération l’année dernière est de 25.
La moyenne est de 5 personnes par opération.

Document Unique d’Evaluation des Risques


Les Réorganisations, y compris ALHIS, ayant fait l’objet de consultations du CSE, voire du CSEC incluant notre périmètre, voire d’Expertises, pour aménagement important des conditions de travail, modifications du contrat de travail, changements voire suppressions d’activités et de postes, changements de périmètres, externalisations, ainsi que les enquêtes ou alertes, ne semblent pas mentionnées ni traitées dans le cadre du présent DUERP.

  • Pour les salariés d’ALHIS en France, inquiets pour leur avenir incertain dans notre Etablissement, la Cfdt réitère sa demande de conserver leur statut d’AXA France, leur permettant en cas de réorganisation de bénéficier de la GPEC avec reclassement dans un poste équivalent, en priorité sur le même site, à défaut dans le même bassin d’emploi, à l’exclusion de tout licenciement.
  • La charge de travail jugée forte et non faible par les salariés, les absences non remplacées, le changement d’outils, le turn over dans certains services, entraînent dégradation des conditions de travail, RPS, pouvant aller jusqu’au Burn out.
  • Les conséquences du « SMART WORKING » avec bureaux partagés avec un taux de 0,7, 0,6, voire 0,5 bureau par salarié, dans des open space bruyants non cloisonnés ne sont pas traitées.
  • Le télétravail jusqu’à 3 jours par semaine, plébiscité par les salariés, comme contrepartie indispensable et nécessaire à l’absence de bureau attribué, et aux mauvaises conditions de transport bondé avec pannes et retards récurrents en constante dégradation, particulièrement en Région Parisienne, peut néanmoins engendrer des risques spécifiques peu ou pas traité aussi : absence d’activité physique, non-respect du droit à la déconnection, absence de séparation vie privée/vie professionnelle, risque d’isolement, accidents domestiques etc…
  • Le contexte économique et social, les incertitudes sur l‘avenir, l’inflation non compensée par les augmentations insuffisantes des salaires, la baisse du pouvoir d’achat, les injonctions contradictoires de la Direction entre développement du CA et rentabilité pèsent également sur les RPS, ainsi que les conditions et la charge de travail des salariés.

La plupart des risques, notamment les RPS et la charge de travail, sont sous évalués, voire pas évalués du tout, avec des mesures de prévention insuffisantes.

Bilan et perspectives AXA Santé & Collectives


Résultat opérationnel en hausse de 6%, résultat opérationnel par action en hausse de 8 %, dividende en hausse de 16%, rachat d’actions de 1,6 Md€, marge de solvabilité en hausse de 19%, annonce d’un nouveau plan stratégique avec des ambitions encore en hausse ciblant un taux de distribution du résultat aux actionnaires de 75 % contre auparavant de 45-55 %, qui plus est avec une garantie plancher du dividende au moins égal à celui de l’exercice précédent (idem à celui que nous réclamons pour les commerciaux suite à la réorganisation de la BU Santé et Collectives, soit la garantie de leur rémunération variable par application de droit de l’article 56 ter de la CCNI, et par extension, pour tous les salariés administratifs impactés pour leur rémunération variable).
Malheureusement, il n’en est pas de même pour les salariés dont les augmentations générales de salaire de 2 % sont moitié moindre de l’inflation et très inférieures aux augmentations dont bénéficient les actionnaires privilégiés par AXA à leur détriment.
Dès lors, il ne faut pas s’étonner que cette baisse générale de pouvoir d’achat des salariés aille à l’encontre des objectifs d’AXA en matière de croissance du chiffre d’affaires en Santé et Collectives, sans compter les injonctions contradictoires sur le développement du CA supérieur au marché au détriment de la rentabilité, ainsi que les externalisations qui appauvrissent les salariés et leur capacité à financer leur santé via l’assurance.Et ce, alors même que la Santé et les Collectives est un secteur porteur pour AXA, du fait du désengagement de la Sécurité Sociale, du fait du vieillissement de la population et de l’augmentation structurelle des dépenses de Santé et des Collectives en général, à condition que l’augmentation du pouvoir d’achat des salariés permette de les financer.
Enfin, concernant l’Intelligence Artificielle, nous rappelons que ce ne peut être qu’un simple outil, et ne saurait avoir vocation à remplacer l’intelligence humaine et l’expertise des salariés qui constituent la vraie richesse d’AXA et sa valeur ajoutée, lui permettant d’atteindre ses objectifs de développement maitrisé et de rentabilité.

La Cfdt interpelle Madame Diane MILLERON DEPERROIS pour l’alerter de situation de salariés en mal-être et d’une dégradation de leurs conditions de travail avec un impact sur leur santé.
Pourtant, AXA communique beaucoup sur le bien-être de ses collaborateurs dans l’entreprise, nouveaux espaces de travail plus convivial, le bilan santé mis à la disposition des salariés, le télétravail favorisant vie professionnelle/vie privée, des formations à la bienveillance et la mise en place de médiateurs pour gérer les conflits.
Dans les faits, des salariés sont en situation de mal-être, de souffrances, de différences de traitements et d’équité par rapport à leurs collègues, qui sont souvent des problèmes relationnels.
Par ces situations vécues, ces salariés consultent la médecine du travail qui les envoie consulter leur médecin traitant, et généralement un arrêt de travail est prescrit. Les causes sont bien connues des services RH que les représentants CFDT leur font remonter et parfois les accompagnent eux-mêmes aux entretiens.
Des sujets reviennent assez souvent, principalement la charge de travail trop importante et, parfois, les difficultés d’encadrement de personnel rencontrées par le management qui nécessite des compétences particulières et un accompagnement spécifique, le manager étant prisonnier d’injonctions contradictoires entre des exigences excessives de productivité de la part de la Direction et la bienveillance due aux collaborateurs. Des salariés sont en difficultés pour les raisons énoncées, aussi des nouveaux entrants rencontrent les mêmes difficultés, le phénomène se répète et cela dans plusieurs secteurs des Collectives. Il convient de reconnaitre et d’analyser ces situations, d’y apporter les correctifs nécessaires pour que ces situations ne perdurent pas ou ne se reproduisent plus.

Pour la Cfdt, le bien-être et les conditions de travail des salariés sont des priorités.

Réorganisation BU AXA Santé & Collectives

Pour mémoire, Axa envisage un projet dont les grandes lignes seraient de :
– Spécialiser les fonctions commerciales par clients/réseaux
– Spécialiser la gestion en fonction de la taille des clients finaux

La Cfdt rappelle sa demande de garantie de la rémunération variable pour les commerciaux par l’application de droit de l’article 56 ter de la CCNI, et par extension, pour tous les salariés administratifs impactés par cette réorganisation
Dans le cadre de ce projet, les représentants du personnel ont voté une Expertise et sollicité le cabinet ISAST pour identifier ses conséquences sur les conditions de travail des salariés.
ISAST réalise des entretiens sur quelques équipes.
Ce questionnaire participe à compléter ces informations sur la Direction Commerciale et la Direction Santé Prévoyance.
En fin de questionnaire, vous aurez la possibilité d’inscrire des commentaires libres. 
En cours de saisie, il vous sera possible de modifier vos réponses (retour en arrière). 
Vos réponses sont anonymes, et ISAST, tiers extérieur à AXA, ne produira que des données collectives (par équipe ou regroupement d’équipes, etc. …).
Vous devez répondre en 1 fois (chaque connexion produit une réponse).
Répondre au questionnaire prend moins de 10 mn. Le questionnaire sera clôturé le vendredi 08/03/2024.
Merci de vos réponses nombreuses et indispensables !

INSTANCE DE PROXIMITÉ AEP région SUD EST Mars 2024 DU SUD EST

Il a été demandé de communiquer des dates de réunions affinitaires dans le cadre de l’opération d’ancrage local de la région.
Le 24/01/2024, nous avons reçu une communication par mail du service Développement nous rappelant le process d’organisation.
Une réunion Teams a été, par la suite, organisée le 28/02/2024, pour expliquer que la Région « était à 100% orientée réunion clients en ce début d’année », mais que les budgets alloués à la Région, soit 5 000€ étaient déjà atteints, laissant par conséquent les collaborateurs, une fois de plus, avec la possibilité de ne pas être remboursés de leur avance et dans l’impossibilité de maintenir la réunion qu’ils ont
mis beaucoup de temps à organiser.
La Cfdt constate, de nouveau, qu’axa ne met pas les moyens de ses ambitions, pire, elle laisse planer le doute d’éventuels non remboursement d’événements des conséquences de l’épuisement de ses budgets, ce qui est inconcevable.
Un process national a été communiqué et nous constatons déjà dans certaines régions, une interprétation des règles:
« il faut plutôt organisés des réunions individuelles à 300 € que des réunions à plusieurs à 600€ ou 1000€ »
« il faut établir des devis au nom des collaborateurs même pour les réunions à 2 ou 3, ils avancent les frais de réunion et le développement remboursera par la suite »
alors qu’on sait qu’il n’y a plus de budget!
« Faites-vous rembourser des notes de restaurant plus importantes, pour vous rembourser l’organisation des réunions »
Comment une société comme AXA, qui génère autant de bénéfices, peut demander à ses collaborateurs de faire une telle avance de trésorerie, alors même qu’elle est déjà en retard sur le remboursement de leurs frais !
Nous alertons sur le fait que la Cfdt sera très vigilante sur le délai de remboursement de cette avance pour ces réunions à l’initiative de leur Direction.
Aussi, nous demandons que les budgets, pour ces évènements soient revus à la hausse au plus vite, afin que chaque collaborateur, puisse être traité équitablement et sans discrimination et avoir la possibilité d’organiser ces rencontres.

INSTANCE DE PROXIMITÉ (RP) AEP Mars 2024 DU SUD EST

Lors du CSE AEP de décembre 2023, la Direction a soumis aux élus un dossier d’information/consultation sur le projet de déménagement du BIC de BASTIA dû à son exposition au radon et aux risques de cancer afférents pour les salariés.
Lors de la phase d’information de décembre 2023, la Cfdt a demandé, à la Direction de produire au CSE AEP de Janvier 2024, les mesures de Radon effectuées sur l’ancien site et de fournir des mesures pour le nouveau site choisi situé à environ 6 kilomètres, les deux sites étant catégorisés 3 sur 3 dans l’échelle de risque suivant l’autorité de sureté nucléaire.
Lors du CSE AEP de janvier 2024, la Direction n’a pas donné suite aux demandes de communication des taux, que ce soit pour l’ancien site ou pour le nouveau site.
La Direction a donc fait le choix de recueillir l’avis sur l’implantation du nouveau BIC sans répondre aux demandes de la Cfdt, pourtant, fondamentales pour la santé et la sécurité des salariés.
Pour la Cfdt le fait que deux organisations syndicales aient accepté de rendre un avis, ne dispense pas la Direction de se conformer au principe de précaution.
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une situation dans laquelle des membres du CSE AEP expliquent aux salariés que les locaux sont sains alors qu’ils ne disposent d’aucune mesure de nature à crédibiliser leurs propos, ce qui caractérise une forme d’irresponsabilité.
Face à cet état de fait, la Cfdt juge indispensable d’évoquer la situation en CSE Central et réitère sa demande à la Direction de fournir à l’instance les taux de radon pour l’ancien site de BASTIA mais également pour tous les sites de la région EST, en sachant que si ce taux est supérieur à 300 BQ/M3 ou si les sites sont catégorisés 3/3 dans l’échelle de risque par l’autorité de sûreté nucléaire, nous demandons un bilan de santé complet pour les salariés commerciaux de ces sites concernés.
La Cfdt demande par ailleurs que soit programmé un bilan de santé pour tous les salariés du site de BASTIA.
La Cfdt demande à la direction de faire preuve de vigilance et de prévention. La santé des salariés est en jeu, sans compter que cette situation peut générer des états de stress, néfastes à l’activité professionnelle quotidienne.
Pour finir, la Cfdt juge important de rappeler que le risque radon a été intégré à la démarche de prévention des risques professionnels, elle doit donc impérativement donner lieu à une information aux élus.

INSTANCE DE PROXIMITÉ (RP) AEP Mars 2024 DU SUD EST : questions diverses

Frais :
– A ce jour, les IMC n’ont pas de possibilité de se faire rembourser l’achat de matériel pour les stands.
La Cfdt prend le point car chaque inspection doit pouvoir être équipée, et le fera remonter en CSE.
– Le remboursement d’une sacoche n’est pas possible dans les frais professionnels
– Les Frais de la calculette AUREP sont pris en charge dans les frais professionnels.
– Le forfait électricité, pour les véhicules électriques, a été versé tardivement. Ce retard de paiement incombe à SOLUCAR et à un envoi tardif du fichier des véhicules hybrides. 
– Formation continue sur site : La part salarié d’un repas pris dans un restaurant subventionné par Axa (cantine, RIE) n’est pas remboursée dans les frais professionnels.
De même, les repas pris à proximité d’un site possédant une cantine, ne seront pas non plus remboursés.
CONCUR : Il apparait différents statuts pour les pochettes de frais, après leur soumission.
il est à noter que « validation manager » correspond à « attente validation du manager ».
Si le statut est « validation des kms déclarés par le RPA » niveau 3, cela correspond à un contrôle du compteur de kilométriques par le robot RPA qui vérifie la cohérence. Ensuite la pochette retourne dans le process pour validation par le service.

Contrat de travail :
Congés payés non pris suite à absence pour maladie : Le transfert sur le PERECO n’est possible que sur la 5ème semaine de congés, dans la limite de 10 jours, toutes campagnes confondues (CP, RTT, etc).
Si un collaborateur est en arrêt depuis plus de 3 mois, il a la possibilité de solliciter l’accueil RH pour demander le report de ses CP sur l’exercice suivant. 
Lorsqu’un salarié entre dans le processus Mécénat ou TAR des congés peuvent être placés dans le PERECO.
Déclaration d’une maladie ou d’un accident du travail:
Ces déclarations se font, maintenant, directement sur PLEIADE, mais la hiérarchie du déclarant n’a pas d’alerte.
Le collaborateur doit informer son inspecteur ou un membre de l’entreprise (RH) sous 48.00 H ouvrées.
De même, lors de la prolongation d’un arrêt de travail, le salarié doit, lui-même, informer sa hiérarchie et la RH.
L’invalidité est une notion de droit de la sécurité sociale mais cela ne veut pas dire que le collaborateur est inapte.
Suite à une inaptitude reconnue, le médecin de travail aide à la recherche d’un poste en vue d’un reclassement, à défaut, un licenciement pour inaptitude sera appliqué.
Si une rente invalidité a été acquise pendant le contrat de travail, elle perdurera après la rupture du contrat.
Concrètement, le PC salarié rencontre le personnel RH PA pour identifier les compétences transférables et évoquer la mobilité du collaborateur.
Les RH ont une vraie volonté d’ouvrir des postes aux PC, mais cela n’est pas simple compte tenu des compétences très variées nécessaires dans l’assurance.
Il y a un contexte qui favorise les mobilités sur des profils dans les services de règlements de sinistres ou de souscriptions.
Garantie de prévoyance : La portabilité du contrat nécessite de justifier d’être allocataire du chômage de France Travail, sur une durée maximum de 12 mois.
Mutuelle :  La portabilité du contrat frais de santé est effective si la rupture du contrat de travail n’est pas pour faute lourde, et bénéficier de l’allocation assurance chômage et ses ayants droits hors conjoint.

Coordonnées du BCAC :
Le service prévoyance du contrat collectif répond au 09.70.72.43.64 à toutes vos questions concernant le contrat collectif de prévoyance.
La Cfdt sait que la réponse n’est pas la bonne, car la Prévoyance est joignable au 0 970 724 365.

Aide au logement : il existe des aides sous-utilisées. L’assistante sociale présente sur les sites peut vous aider dans vos demandes.
N’hésitez pas à relire cet article ou rendez vous sur One.

Véhicule de fonction :
Dans la note du 01/02/2022, il figure 4 cas de restitution anticipée de véhicule de fonction :
– Suspension du contrat de travail
– Mécénat de compétences en fin de carrière
– Rupture du contrat de travail
– Départ en retraite

Dernier point : Le calcul des unités de production en cas d’abattement de frais d’entrée sur un contrat PER est le même que sur une PU/VL.

INSTANCE DE PROXIMITÉ (RP) AEP Mars 2024 DU SUD EST : Points sur les BICs

Bic de ROANNE :
Pas d’avancée sur l’inspection de Roanne. Un comité immobilier aura lieu la semaine prochaine.
Pas d’avancée, non plus, sur le fonctionnement de l’interphone, cela est très compliqué et pourrait bien ne jamais être réglé.
Le code du portail est déjà largement communiqué aux personnes susceptibles de se rendre sur le BIC de ROANNE.

BIC de BASTIA :
Intervention du docteur LOMBARDO, médecin du travail :
Il existe 2 cadres : médical et réglementaire.
Le médical : Les mesures fournies par la société et l’extrapolation des données en fonction des personnes et du temps passé sur site indiqueraient qu’il n’y a pas de risque.
Il faudrait qu’il soit 3 fois supérieur pour qu’il y ait un risque pour les salariés.
Effectuer un scanner ou une radio de contrôle par les collaborateurs serait plus irradiant que les effets du RADON sur le site de BASTIA.
Le médecin serait aussi rassurant s’il y avait eu des femmes enceintes exposées dans l’inspection.

En résumé:
– Il serait délétère au niveau médical de faire des examens plus poussés car plus impactant que l’exposition.
– En revanche, le discours serait différent si l’exposition était plus fréquente et quotidienne.
– Néanmoins, il est possible de faire des examens en cas de pathologie avant de faire un scanner ou une radio si cela était utile.
De plus:
– Le cancer suite à l’exposition apparaîtrait 15 ou 20 ans après une longue exposition.
– Des examens sont effectués en fonction de l’état de santé du collaborateur et de ses antécédents médicaux et familiaux.

Le réglementaire : De nouvelles mesures sur le nouveau site de Bastia seront faites dans la bonne période entre novembre et février puis tous les 5 ans selon la réglementation.

Carte Verte assurance automobile

La carte verte d’assurance automobile est supprimée à partir du 1er avril 2024

Vous n’avez plus besoin d’apposer sur le pare-brise de votre véhicule, à compter du 1er avril 2024,
le « papillon vert » prouvant que vous avez souscrit à un contrat d’assurance.
Les modalités de contrôle de l’obligation d’assurance évoluent pour l’ensemble des véhicules immatriculés en France, à la suite d’un décret publié au Journal officiel le 9 décembre 2023.

À partir du 1er avril, pour vérifier que vous avez bien respecté l’obligation d’assurance de votre véhicule, les forces de l’ordre utiliseront le fichier des véhicules assurés (FVA). Cet outil numérique est alimenté par les assureurs qui y indiquent tout renouvellement de contrat ou toute souscription d’un nouvel engagement. Cette disposition concerne les différents véhicules immatriculés, autrement dit :
– les voitures ;
– les véhicules utilitaires (fourgons, camionnettes…) ;
– les motos ;
– les scooters ;
etc.

À la place de la carte verte et du papillon vert, votre assureur vous remettra désormais un « mémo véhicule assuré » lors de la souscription de votre contrat d’assurance ou à l’occasion d’un changement de véhicule. Lorsque vous êtes assuré depuis moins de 72 heures, il se peut que votre véhicule ne soit pas encore présent dans le fichier des véhicules assurés. Vous pouvez alors en cas de contrôle présenter aux forces de l’ordre le mémo véhicule assuré.

Ce document pourra aussi vous être utile pour avoir les informations nécessaires à la rédaction d’un constat amiable, ou pour avoir les coordonnées de votre assistance en cas de panne.
Cette année, exceptionnellement, les assureurs vont transmettre à tous leurs assurés un mémo véhicule assuré. Avant de recevoir ce document, conservez la dernière carte verte qui vous a été transmise ; elle reste valable jusqu’à sa date de fin de validité.

À savoir : les véhicules à moteur non immatriculés ne sont pas concernés par ces nouvelles dispositions. Si vous conduisez un engin de déplacement personnel motorisés (EDPM), comme une trottinette électrique, après le 1er avril 2024 vous devrez encore présenter une attestation d’assurance en cas de contrôle et apposer une vignette d’assurance de manière visible sur votre véhicule.

À noter : depuis le 12 mars, vous pouvez vérifier sur le site du fichier des véhicules assurés que votre véhicule y figure effectivement. Pour ce faire, vous devez indiquer :
– le numéro de la plaque d’immatriculation de votre véhicule ;
– et le numéro d’identification du véhicule (qui se trouve sur le certificat d’immatriculation).
Si le véhicule n’est pas renseigné dans le fichier, vous devez vous rapprocher de votre assureur.

Rappel : tout propriétaire d’un véhicule terrestre à moteur (voiture, moto, utilitaire…), en circulation, doit l’assurer avec au minimum la garantie responsabilité civile. Cette garantie couvre les dommages que le véhicule peut occasionner, par exemple :
– les blessures causés à un piéton ou à un passager ;
– les dégâts produits sur un autre véhicule ou sur du mobilier urbain ;

Le saviez-vous? Fauteuils roulants électriques

Légalement , les fauteuils roulants électrique ne sont plus considérés comme des véhicules terrestres à moteur (VTM) et ce quel que soit leur vitesse.
De ce fait, ils ne sont plus soumis à l’obligation d’Assurance Responsabilité Civile Automobile.

Ce qui change pour les particuliers : La responsabilité civile vie privée (RCVP), généralement incluse ou proposée en option d’un contrat habitation, qui garantira les dommages causés à un tiers par un client avec son fauteuil roulant électrique.
Par ailleurs, si l’utilisateur d’un fauteuil souhaite être couvert en cas de dommages corporels, l’assurance Garantie Accident de la Vie (GAV) devra être souscrit.