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Auteur/autrice : Isabelle Ollivier

Téléphonie mobile des salarié(e)s

Ceci génère des angoisses de n’être pas joignable durant les heures de travail, d’autant que les lignes fixes n’existent plus sur site.
Le réseau GUEST ne résout pas le problème. Il faut essayer en se connectant au réseau « CONNECT ME », mais la Direction ne peut agir sur ce point car cela dépend du fournisseur de chaque salarié.

Parking : Moins de disponibilités

36 nouvelles bornes électriques vont remplacées les anciennes à la fin octobre 2024.
Actuellement, les véhicules thermiques peuvent se stationner sur les places pour véhicules électriques.

Trop de lingettes usagées sont jetées dans les canalisations des WC.
Cela apporte un encrassement excessif des canalisations avec de très fortes odeurs nauséabondes liées aux colonnes d’évacuation qui se bouchent. Sans parler des risques de glissages sur le sol mouillé…. 

Il y a aussi un souci d’infiltration, sujet pris en charge par le propriétaire.

Fresh Cup nous en demandons à tous les étages

Nous avons remonté à la Direction, la plainte des salariés car il n’y a pas de machines rince tasses à tous les étages.
A ce jour, la Direction ne souhaite pas en ajouter d’avantage.

La Direction ne peut pas supprimer les gobelets jetables et ne pas mettre de Fresh Cup sur tous les étages.

    Comité Restauration du 7 octobre 2024

    Le jeudi 26 septembre 2024, des brochettes de viande de porc peu quantitatives ont été servies.
    Vos élus ont demandé et obtenu le remboursement du plat.
    Nous avons demandé à la Direction quel était le poids minimum de viande, prévu au contrat par assiette : pas de réponse.
    De façon générale, nous questionnons sur le grammage des plats.

    Concernant l’offre végétarienne, nous constatons qu’elle est d’avantage respectée depuis 4 semaines à hauteur de 3 jours par semaine (mercredi, jeudi, vendredi).
    Sur Nanterre, l’offre végétarienne est servie tous les jours.

    Fabrik à boisson : L’installation est en cours. Le changement des lecteurs de badge l’a impacté.
    Encas salés, nous demandons qu’une offre soit mise en place aux comptoirs du mail.
    La gratuité du micro-beurre est en place depuis début septembre.
    Trattoria : la garniture des pizzas est revue à la hausse depuis le mois de juillet :
    1 pizza marguerite (base tomate, mozzarella)
    1 pizza végétarienne
    1 pizza du jour
    1 plat pâtes ou 1 salade
    1 plat chaud

              Les journée d’affluence sont les mardi, lundi et Jeudi.
              – 74% de fréquentation est constaté le vendredi par rapport au mardi.

              Programme de Lutte contre le Gaspillage Alimentaire : Waste Watch
              Le programme Waste Watch vise à réduire le gaspillage alimentaire dans les établissements de restauration à travers la pesée systématique des déchets alimentaires, l’identification des causes, et la mise en place d’actions correctives pour réduire les pertes

                  La Direction rappelle son besoin/désir de maitriser la fluidité de l’accès aux restaurants d’entreprise sur Nanterre.
                  › -10% sur le ticket total  entre 13h15 à 14h00 uniquement au Marché des Halles & l’Entre deux.
                  C’est une opération temporaire qui sera reconduite jusqu’en janvier 2025 suite nouvel accord télétravail.

                    FoodChéri : en 2025, SODEXO mettra une borne en place pour les commandes.
                    De plus, FoodChéri s’agrandit et reprendra tout cet espace de sandwich/salade face à la Trattoria.

                          Cantine : animations culinaires pour Nanterre, Val de Fontenay et Marly le Roi

                          Les animations calendaires seront :
                          31 octobre : Halloween
                          10 & 12 décembre : Repas de Noël
                          Semaine du 6 au 10 janvier : Epiphanie
                          Semaine du 14 avril : Pâques
                          A définir : Festival été / juin

                          Les animations internationales seront :
                          29 janvier : Nouvel an chinois
                          Semaine du 3 mars : Carnaval de Rio
                          27 mars : Journée du fromage français
                          15 mai : Journée patrimoine africain

                          Résultats de l’enquête QVT RPS (avril / mai 2024)

                          Sur la charge de travail et l’organisation si la Direction dit que le point est entendu, que c’est un sujet AXA mais aussi sociétale n’est pas une vraie réponse.
                          La Cfdt attend de vraies actions.

                          L’enquête QVT s’est déroulée du 16 avril au 3 mai 2024 (PA et PC)
                          ▪ Des tendances stables vs 2023 et 2022
                          ✓ Le taux de satisfaction au travail est noté à 7 (6,9 en 2023)
                          Le niveau de stress ressenti se maintient à 5 (identique à 2023)
                          ▪ Les points d’attention restent similaires à ceux de 2023 :
                          Prioritairement, la charge de travail : elle reste jugée importante (7,4) notamment en termes d’intensité du travail (2,3), d’interruptions de tâches (3,3), de polyvalence (3,4) et de perturbations du travail (5) débordement du travail (6,1)
                          L’organisation du travail : l’aménagement des espaces de travail avec la concentration (5,2) et collaboration (6,7) et les réunions restent en creux avec poids des réunions (6,1), préparation des réunions (6,7) et intérêt des réunions (6,5)
                          Reconnaissance : les perspectives de carrière (5,5) de mobilité (6,1), le soutien RH (5,8), l’équité/justice (6,5)
                          Ambiance / soutien face au public : La maitrise des émotions (3,5), les tensions avec le public (5,2) et la confrontation avec la souffrance (5,9) restent des sujets d’attention.

                          La Direction est déçue du taux encore faible des répondants : il a été argué que certains ne voyaient pas la concrétisation de leurs commentaires dans l’enquête.

                          Vente d’AXA IM

                          La nouvelle visant à vendre AXA IM, annoncée officiellement début août, est un véritable coup de tonnerre ressenti par les salariés après les nombreux efforts qu’ils ont fournis et un récent plan de Rupture Conventionnelle Collective (RCC).

                          Pourtant AXA IM est une entité profitable, avec un résultat opérationnel de 400 millions d’euros en 2023 et gère près de 850 milliards d’euros d’actifs pour AXA et ses clients.

                          Bien que ce secteur d’activités ait connu une forte concentration ces dernières années, le Groupe a les ressources nécessaires pour conserver cette activité.

                          Il est important de rappeler qu’AXA IM était partie intégrante du nouveau plan stratégique comme un « acteur de grande envergure avec des capacités distinctes ». La direction avait également mis en avant le « modèle de co-construction d’AXA IM », conçu pour élaborer des offres répondant aux besoins et préférences des marchés locaux en collaboration avec les différentes entités, dont AXA Santé & Collectives.

                          À ce jour, AXA IM gère 90 % des actifs sous gestion du groupe AXA. Cette décision ne rassure personne au sein du Groupe. Nous sommes pleinement mobilisés pour défendre les acquis et les emplois dans ce contexte de cession d’activité et nous demandons l’application de l’article 1224-1 du code du travail avec reclassement des salariés sur un poste équivalent ainsi que le maintien du CSE pour l’entité autonome chargée de l’intégration jusqu’au prochaines élections.

                          Cette vente annoncée d’AXA IM à la BNP se traduirait par une perte d’avantage compétitif pour les Collectives et autres entités d’AXA qui pouvaient obtenir d’AXA IM des conditions préférentielles pour réaliser leurs affaires et conserver leur leadership sur le Marché.

                          Cette vente se fait au profit des seuls actionnaires d’AXA et au détriment de l’Entreprise et des salariés d’AXA.

                          La substitution par la BNP, concurrent d’AXA, de ce partenariat avec AXA IM ne risque-t-il pas de se faire au détriment des entités d’AXA ?

                          Bilan 2023 et Programme 2024 de Prévention des Risques Professionnels et d’Amélioration des Conditions de Travail

                          La CFDT constate à nouveau que les Effectifs CDI sont en forte baisse en raison de l’externalisation/sous-traitance des activités à moindre coût au détriment de l’emploi statutaire dans AXA France : la CFDT ne cesse de dénoncer depuis toutes ces années la politique de la Direction d’externalisation croissante des activités de gestion, à la SOGAREP, UGIPS et autres ainsi qu’au MAROC destinée à réduire le coût du travail au détriment du statut des salariés d’AXA France, autre dossier où nous avons été consultés, ALHIS avec le retrait de l’activité internationale Local Solutions.

                          Au regard de ce bilan, nous constatons qu’il ne reste plus que 45 CDI non-cadres, à contrario le nombre de contrats CDD, alternants, et apprentissage de professionnalisation est supérieur à celui des CDI. A noter l’absence de plan de formation d’évolution des salariés non-cadres vers une classe 5-Cadres, afin d’éviter toutes difficultés de reclassement lors de suppression de leur poste ou de réorganisation.

                          L’augmentation de la charge de travail et le manque d’effectif dans certains secteurs entraînent une dégradation des conditions de travail, ainsi que des surmenages, voire des Burn Out, chez les jeunes et les seniors.

                          Nous constatons une augmentation des absences pour cause de maladie, de même pour les journées d’absences, ainsi que des départs en retraite en hausse dus, peut-être, à des réorganisation et disparitions d’activités, par la mise en place de mesures de fin de carrière pour les salariés proche du départ ne pouvant être reclassés,

                          Les Réorganisations, y compris ALHIS, ayant fait l’objet de consultations du CSE, voire du CSEC incluant notre périmètre, voire d’Expertises, pour aménagement important des conditions de travail, modifications du contrat de travail, changements voire suppressions d’activités et de postes, changements de périmètres, externalisations, ainsi que les enquêtes ou alertes, ne semblent pas mentionnées ni traitées dans le cadre du DUERP et du PAPRIPACT

                          Pour les salariés d’ALHIS en France, inquiets pour leur avenir incertain dans notre Etablissement, la Cfdt réitère sa demande de conserver leur statut d’AXA France, leur permettant en cas de réorganisation de bénéficier de la GEPP (ex-GPEC) avec reclassement sur un poste équivalent, en priorité sur le même site, à défaut dans le même bassin d’emploi, à l’exclusion de tout licenciement.

                          La surcharge de travail, les absences non remplacées, les changements d’outils, le turn over dans certains services, entraînent une dégradation des conditions de travail et des RPS pouvant aller jusqu’au Burn out.

                          Les conséquences du « SMART WORKING » avec bureaux partagés avec un taux de 0,7, 0,6, voire 0,5 bureau par salarié, dans des open space bruyants non cloisonnés ne sont pas traitées.

                          Le télétravail jusqu’à 3 jours par semaine, plébiscité par les salariés, comme contrepartie indispensable et nécessaire à l’absence de bureau attribué, et aux mauvaises conditions de transport bondé avec pannes et retards récurrents en constante dégradation, particulièrement en Région Parisienne, peut néanmoins engendrer des risques spécifiques peu ou pas traité aussi : absence d’activité physique, non-respect du droit à la déconnection, absence de séparation vie privée/vie professionnelle, risque d’isolement, accidents domestiques etc…

                          Le contexte économique, social, et politique, les incertitudes sur l‘avenir, l’inflation non compensée par les augmentations insuffisantes des salaires, la baisse du pouvoir d’achat, les injonctions contradictoires de la Direction entre développement du CA et rentabilité pèsent également sur les RPS, ainsi que les conditions et la charge de travail des salariés.