Un salarié s’est vu refuser des frais de partenariats qui étaient pris en charge les autres années. Le partenariat en question est celui d’un business club qui existe au sein du club de Hand pro comme dans tous les clubs de sport pro. Cette note a été soumise en octobre et le salarié avait l’accord écrit de son IMC (fourni) et l’accord de son DV pour cette dépense.
Réponse : Le collaborateur doit (re)fournir l’accord de convention. il faut aussi que ce soit une première demande de sa part du salarié.
Si un collaborateur regarde son nombre de JRA attribués pour l’année 2025, le 01/01/2025 et qu’il regarde à nouveau quelques jours plus tard, il constatera un delta de -1. Cela est dû à l’impact du lundi de Pentecôte, qui n’est plus un jour férié, et pour lequel la Direction récupère un JRA pour imposer cette journée en chômée.
Un collaborateur réalise des affaires santé avec des clients retraités âgés de 59 ans ou 58 ans. La réduction pour retraité s’ouvre bien dans AXAPAC et le client bénéficie des – 20% en tant que cible pérenne. Par contre, le commissionnement sur cible pérenne n’est pas appliqué. (7,5 au lieu de 3).
Réponse : Une cible pérenne est bien égale ou supérieure a 60 ans, donc le commissionnement appliqué est correct.
Dans le cadre de l’acquisition de congés payés pendant un arrêt de travail, une collaboratrice se demande, comment elle peut prétendre à une récupération de jour de congés qu’elle n’aurait pas perçu pendant ses différents arrêts de travail ?
Réponse : L’arrêt étant inférieur à 90 jours, il n’y aura pas d’impact sur les congés de la salariée. Si l’arrêt est supérieur à 90 jours, elle aurait pu bénéficier 2 jours par mois soit 24 jours/an. Si la salariée est cadre, elle bénéficiera de 1,66 jours par mois soit 20 jours/an. Pour l’étude des absences longue durée, il faut obligatoirement envoyer un mail (service.cpmaladie@axa.fr).
La Direction rappelle qu’il y a une prescription de 3 ans pour les réclamations.
Une collaboratrice, de retour de congé maternité, ne comprend pas d’être redevable d’un débit de production, alors qu’elle revient de congé maternité.
Réponse : la collaboratrice avait un débit important lors de son départ en congé maternité. Son récurrent a apuré en grosse partie de ce débit et les reprises durant son congé maternité ont joué aussi. Ces reprises restent effectives à sa reprise en septembre malgré le versement du récurrent proratisé. Le dossier a été transmis pour étude au Comité de Dérogation, qui, malheureusement a rejeté la demande.
Un PC a fait souscrire 2 contrats à 2 clients différents. Ces 2 clients professionnels ont été payés en clients particuliers, ce sont des contrats Avizen pro et PER pro souscrit en juin, et dont la prime a été payée sur les commissions AXA du mois d’août.
Réponse de la Direction : Il y a en effet une anomalie : le 2ème contrat a bien été identifié en multi ventes mais étant donné que les 2 contrats ont été émis sur le même mois, le complément ne s’est pas déclenché. Le rectificatif ainsi que le règlement a été fait au collaborateur sur le relevé de décembre.
Un 3eme contrat est impacté aussi, souscrit le 05 juillet payé sur com axa en août, mais pour celui-ci la prime annuelle du contrat est inférieure au déclenchement de la liste B. (1 100 euros/an).
Régulièrement, quels que soient les sites, les salariés se plaignent légitimement d’avoir froid. Réponse de la Direction : faites des Facilities ! Même si le problème est temporairement réglé (parfois avec un délai d’intervention un peu long), il se répète malheureusement assez souvent entrainant à la fois inconfort, insatisfaction et découragement. Nous demandons des contrôles réguliers et objectifs notamment dans les secteurs très impactés.
Nouvelles badgeuses horaires toujours en attente
Le déploiement des nouveaux badges est maintenant bien engagé (Pour l’IdF : Marly, Opéra, Nanterre, bientôt VdF). Étonnamment, le remplacement des badgeuses horaires reste en suspens… Interrogée à nouveau sur le sujet, la Direction indique que les tests sont toujours en cours.
Espérons que les choses évoluent rapidement pour éviter aux badgeants d’avoir 2 badges d’autant que les nouveaux entrants n’ont que le nouveau badge et doivent badger sur leur PC.
Fontaines à eau
L’installation de fontaines à eau dans les restaurants d’entreprise proposant de l’eau gazeuse avait été saluée unanimement. Malheureusement, la maintenance laisse à désirer et souvent il n’y a plus de gaz…
Lingettes désinfectantes : c’est non !
Avec le déploiement du SmartWorking qui oblige à partager les bureaux et, en cette période de forte épidémie, nous avons à nouveau demandé à ce que des lingettes désinfectantes soient remises à disposition. La Direction s’y refuse en l’absence de préconisations de la médecine du travail mais les masques sont toujours disponibles.
En décembre, la Direction nous annonçait la fin prochaine de la gratuité des recharges de véhicules électriques sur sites, la fin des exonérations fiscales étant programmées. La Direction réfléchissait aux modalités de mise en place de solution de paiement.
Or, il semble qu’à ce jour l’exonération soit maintenue au moins temporairement sans véritable vision même à court terme. Donc, jusqu’à nouvel ordre, la gratuité est également maintenue.
Après la fermeture pure et simple, de la cafétéria le vendredi annoncée par la Direction à partir du 11 octobre 2024, vos élus avaient obtenu le maintien d’une ouverture partielle le vendredi matin jusqu’à 10h30. Aujourd’hui, cette même Direction, au motif de faibles ventes, envisage à nouveau la fermeture de la cafétéria du B3 pour mettre en place un charriot ambulant au niveau de l’accueil du A7 proposant viennoiseries et boissons. Le café serait préparé en thermos ! La Cfdt craint que les salariés ne préfèrent la gratuité du café des machines en libre service entrainant éventuellement la disparition définitive de cette prestation. Décidément, la Qualité de Vie au Travail est une fois de plus mise à mal.
Lors de la présentation des plans de réaménagement des étages en SmartWorking, les élus avaient immédiatement alerté sur la configuration des lounges qui allaient entraîner une nuisance sonore importante pour les salariés travaillant à proximité. L’installation des équipes au 6ème étage confirme nos craintes. Lors de notre visite des lieux après notre instance, la Direction a reconnu la réalité du problème et a demandé à la Direction de l’Immobilier d’étudier les solutions de nouvel aménagement. Les élus demandent à ce que ces modifications soient rapidement déployées avant la livraison des étages futurs.
Casiers : portes à revoir
La Direction nous indique que les difficultés d’ouverture des casiers sont dues à des portes trop épaisses ! Le fournisseur n’aurait pas respecté les dimensions demandées et doit procéder au remplacement de toutes les portes.
Les nouveaux badges arrivent
La campagne photo pour le déploiement des nouveaux badges devrait bientôt commencer. Le 5ème étage, en cours de travaux actuellement, sera le premier équipé. Pour le restaurant d’entreprise, les 2 types de lecteurs seront maintenus comme sur les autres sites.
Exposants sur site : tout n’est pas fini
Pour la Cfdt, la qualité de vie au travail se traduit aussi par des animations sur les sites en plus d’un bien-être au travail dans de bonnes conditions. La reconfiguration du site en SmartWorking supprime les exposants au quotidien faute de salle mise à disposition par l’entreprise. La Cfdt a néanmoins obtenu l’engagement de la Direction pour l’organisation de 4 « marchés » sur l’année gérée par les services de la Communication. Le premier devrait avoir lieu en mars avec la présence espérée d’une dizaine d’exposants.