Les personnes ayant bénéficié de l’étude SPB (Société de Prévoyance Bancaire) avant la réforme des retraites et subissant un impact sur leur date de départ, ne bénéficieront pas de l’actualisation de leur dossier. Rappel de l’offre proposée l’année des 58 ans, ici. Les salariés peuvent récupérer la mise à jour du dossier sur le site de l’assurance retraite, puis faire un point avec la RH ou la cellule retraite au 540650 (service.celluleretraite@axa.fr). Mais, si vous êtes à plus de 6 mois du départ et/ou en situation de handicap et que vous n’obtenez pas de réponse, contactez un élu Cfdt ou l’assistance sociale.
La Cour de cassation a tranché : le comité social et économique ne peut réserver le bénéfice des activités sociales et culturelles aux salariés et aux stagiaires ayant une certaine ancienneté dans l’entreprise.
La Cour de cassation, dans un arrêt du 3 avril 2024 (no 22-16.812), précise pour la première fois que le CSE ne peut subordonner l’ouverture des droits aux activités sociales et culturelles (ASC) à une condition d’ancienneté minimale au sein de l’entreprise. …
Les CSE doivent modifier rapidement leur règlement intérieur…
En pratique, de nombreux CSE réservent le bénéfice des ASC aux salariés ayant une ancienneté minimale (trois mois, six mois…) au sein de l’entreprise. « Ces CSE sont donc invités à se pencher sans tarder sur de telles règles pour les faire évoluer, cela afin de se prémunir à l’avenir de tout risque de contentieux, alerte Maud Renaud responsable du service juridique de la Confédération Cfdt. Ces contentieux peuvent être exercés par des salariés se considérant lésés, mais aussi par les Urssaf.
La Cfdt constate que le nouveau local proposé sera plus adapté avec de nombreuses places de parking.
Cependant la Cfdt remarque une nouvelle fois que la Direction n’a pas répondu, en séance, aux questions concernant la sécurité du site (ex : plan d’évacuation). Aussi, devant ce manque d’échange entre la Direction de la région Ouest et les élus RP, la Cfdt ne peut que s’abstenir de rendre un avis!
La Direction prendra en charge 50% dans la limite de 200 euros maximum pour l’achat d’un équipement hiver (pneus neige, chaussettes ou chaînes) par année civile avec effet rétroactif au 01/01/2024 pour tous. Ceci hors enveloppe des frais professionnel. Un additif sera ajouté à la note de frais professionnels sur ce sujet prochainement.
La direction souhaite étendre l’autonomie à toute la gamme Amadéo pour les conseillers référents « Gestion Privée » dans le cadre du plan stratégique 2024-2026. Elle nous indique qu’il y aurait 16 recrutements en cours au sein du service de la Gestion Privée dont 3 très bien engagés pour un meilleur maillage territoriale. Il y a 74 référents gestion privée AEP et la direction souhaite en avoir environ 150 à l’issue de ce projet. La Direction va lancer un pilote sur la base du volontariat sur la population des référents. Un accès se fera via le portail Gestion Privée puis sur Salesforce en 2025.
La Cfdt demande : • Une formation adaptée en présentiel • Un suivi régulier des affaires en cours • Une proximité des inspecteurs Gestion Privée • L’accessibilité en terme de conseil des inspecteurs gestion privée • Un meilleur commissionnement qu’actuellement • Pas de pression ni d’objectif pour les salariés autonomes • Des critères bien définis pour le choix des conseillers autonomes
La Cfdt constate : – la complexité et la superposition des règles de commercialisation avec différents critères et pourcentages : 45%, 35% et 30% – Un manque de formations sur ce sujet. – Des annulations de e-versement à posteriori alors qu’aucune alerte n’est affichée lors de la saisie informatique. Qu’en est il de la satisfaction client ? L’impact sur le grenelle du client Axa? – Que lors de la présentation par AXA IM et par certains encadrants, il a été dit que le e-versement permettait de contourner les règles de souscription.
La Cfdt demande à la Direction, de nouveau, d’uniformiser les formations et le discours commercial!
Préalablement à cette séance de négociation un projet d’accord nous a été transmis par la Direction.
Ce projet d’accord comporte un paragraphe (voir ci-dessous) que nous avons jugé inacceptable. « Article 2.1.1. Salariés concernés Le télétravail concerne les seuls salariés qui normalement « auraient dû exécuter leur travail dans les locaux de l’entreprise ». Il ne vise donc pas les salariés nomades ou itinérants, qui exercent déjà une partie de leurs activités hors des locaux de l’entreprise, ni les salariés commerciaux exerçant sur le terrain. L’entreprise définira les conditions d’accès du salarié au télétravail étant donné que ce mode d’organisation est destiné aux collaborateurs autonomes et comporte une alternance entre le travail dans les locaux de l’entreprise et hors des locaux de l’entreprise, en veillant à favoriser le bon fonctionnement des services, prévenir l’isolement du collaborateur et maintenir un lien social avec la vie de l’entreprise. Certaines activités spécifiques peuvent par ailleurs être incompatibles avec un mode de travail à distance. Les entreprises veilleront à développer des formules de télétravail dans le respect des principes du présent accord ».
Ces formules, pour renforcer le sentiment d’appartenance à l’entreprise et favoriser la cohésion d’équipe, seront définies : – avec une approche hebdomadaire de télétravail, – en veillant à ce que les collaborateurs passent en moyenne plus de la moitié de leur temps de travail sur site, – et en organisant la présence des collaborateurs au moins 2 jours par semaine sur site quelle que soit la nature du contrat (temps plein, temps partiel, alternance…).
Accepter de négocier sur la base de ce texte reviendrait à accepter un recul significatif du Télétravail dans l’ensemble des entités de la RSG, les différentes entités se trouvant ensuite pieds et poings liés et dans l’impossibilité de négocier un accord adapté à l’activité de l’entreprise. Par ailleurs, les reculs actés au niveau de la RSG ne laisseraient plus aucune latitude pour négocier d’éventuelles contreparties à des adaptations acceptables.
Les trois OS représentatives au niveau de la RSG se sont accordées sur une déclaration commune (voir ci-dessous) qui a été lue par la Cfdt en début de séance, à la suite de laquelle nous avons quitté la séance : Depuis plusieurs mois, nos organisations respectives, remontons notre inquiétude quant à un éventuel recul de vos propositions dans la négociation télétravail. Le texte proposé aujourd’hui nous pose un problème de forme et de fond. De forme, parce qu’il introduit dans l’accord Groupe des dispositions trop normatives qui vident de substance les futures négociations entreprises. De fond parce que vous introduisez une proposition inutile, incompréhensible et inacceptable ! Inutile parce l’accord actuel est le fruit d’un délicat équilibre et que le groupe a su dépasser ses objectifs dans ce contexte. Incompréhensible parce que nous ne voyons pas l’articulation entre vos propositions. Et inacceptable parce qu’inéquitable et en recul pour les salariés. Nos trois organisations souhaitent ardemment aboutir à un accord, mais nous ne pourrons commencer à discuter que lorsque vous aurez retiré du texte la dernière partie de l’article 2.1.1. avec ses 3 dispositions.
Cet après-midi se déroulera la première séance de négociation de l’accord Télétravail Axa France. Nous ouvrirons la séance en manifestant notre désaccord avec l’approche RSG et conditionnerons notre éventuelle signature de l’accord à la préservation d’une véritable autonomie dans la négociation. Nous vous tiendrons au courant
Nespresso sera en libre-service dans la rue intérieure au niveau de la T3
Proposer un environnement où les collaborateurs pourront se détendre et se restaurer.
Ouverture le 15 avril d’un espace complémentaire de restauration (avec micro-onde, lave gobelet, bornes de tri et réfrigérateur) à la place du kiosque informatif.
Création d’un espace Desk conciergerie sera créé entre le T1 et le T5 pour toute information sur les services proposés sur le site mais aussi pour la réservation des salles de Conférence du T1 et la future grande salle de 80 personnes. Dorénavant, les autres salles du mail seront réservables par l’outil en ligne.
Fréquentation constante aux Halles en janvier et février, ainsi qu’une amélioration de la reconnaissance des plats aux bornes. Malgré des débuts difficiles, il y a eu une hausse de la fréquentation également au FoodChéri. Mise en place d’un menu printemps avec un plat végétarien par jour, ainsi que des animations prévues pour Pâques et une odyssée des saveurs grecques en avril 2024. Une nouvelle grille de revalorisations tarifaires de 15 centimes entrera en vigueur le 1er avril 2024, avec une admission à 6,75 € TTC et un gel des tarifs TTC jusqu’au 1er février 2025.
Des enquêtes flash seront également lancées pour recueillir les avis des convives. De plus, le Label Perma sera mis en place, avec une conférence prévue pour informer les salariés.
Le Café joyeux ouvrira de 7h30 à 15h à compter du 18 mars, avec la possibilité de déjeuner à terme avec la carte Tickets restaurant. La pizzeria Trattoria proposera 2 pizzas au choix par jour ainsi que des pâtes italiennes, avec une borne d’auto-encaissement. La brasserie XXL du T5 (Auguste) et la pizzeria ouvriront le 13 mai 2024, offrant un QR code pour commander ses plats et un accès wifi Sodexo.