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Auteur/autrice : admin4544

Édito 

SHAREPLAN : Ouverture du 11 au 25 septembre 

Si vous êtes dans l’effectif AXA au 11 septembre, avec au moins 3 mois d’ancienneté, vous pouvez investir dans les actions de l’entreprise à des conditions préférentielles.

Comment financer votre investissement ?

  • Versements volontaires : dans la limite de 25 % du salaire brut annuel (hors intéressement/participation).
  • Avance de trésorerie de l’entreprise, sans intérêts : jusqu’à 6 000 €, remboursable en 10 mensualités à compter de février 2026.
  • Intéressement/participation 2025 “réservé” en juin : dans le fonds d’attente Euro 4M (non comptabilisé dans la limite des 25 %).
  • Plan d’épargne entreprise (PEEG) : arbitrage possible des sommes déjà placées vers l’opération Shareplan (non comptabilisées dans la limite des 25 %).

    Deux formules au choix :

Formule Classique

Achat d’actions avec une décote de 20 % sur
le cours officiel.

→ Investissement exposé aux variations du cours de l’action.

Perception des dividendes sur les actions acquises, qui sont automatiquement ;.

Particularité : 1 action gratuite pour 1 action achetée, dans la limite de 20 actions gratuites (uniquement dans cette formule).

Formule Garantie +

Achat au cours officiel (sans décote).

Capital garanti par la banque partenaire, quelle que soit l’évolution du cours.

Intérêt annuel garanti de 3 % sur votre mise.

→ Effet de levier x10 : la banque partenaire investit 10 fois votre mise, et vous bénéficiez de la plus-value éventuelle calculée sur l’ensemble de l’investissement.



→ Pas de dividendes
dans cette formule.

Vous ne bénéficiez pas des 20 actions gratuites.

N’hésitez pas à contacter vos élus CFDT pour obtenir davantage de précisions
ou éclaircir tout point du dispositif.

Retraite progressive & négociation seniors : Ce que change la loi

Dans ce cadre, un salarié peut travailler entre 40 % et 80 % d’un temps plein et percevoir, en complément, entre 60 % et 20 % de sa pension, calculée sur les droits acquis au jour du passage en retraite progressive.

Recalcul des droits lors de la retraite définitive. Au moment du passage à la retraite à taux plein, les droits sont recalculés pour tenir compte des années supplémentaires travaillées à temps partiel.

Le principe : travailler moins et percevoir une fraction de sa retraite

Dans ce cadre, un salarié peut travailler entre 40 % et 80 % d’un temps plein et percevoir, en complément, entre 60 % et 20 % de sa pension, calculée sur les droits acquis au jour du passage en retraite progressive.

Recalcul des droits lors de la retraite définitive. Au moment du passage à la retraite à taux plein, les droits sont recalculés pour tenir compte des années supplémentaires travaillées à temps partiel.

Mieux travailler, plus longtemps… et mieux vivre

La retraite progressive, voulue par les partenaires sociaux (organisations syndicales et patronales, dont le MEDEF), est un outil qui facilite la transmission du savoir-faire tout en allégeant la charge de travail.

Elle permet aux salariés expérimentés de travailler plus longtemps dans de meilleures conditions, tout en profitant de davantage de temps pour eux-mêmes et leurs proches.

Un accompagnement possible par l’entreprise et compatible avec nos dispositifs internes
Par accord avec les organisations syndicales, l’entreprise peut assumer un taux de cotisations retraite supérieur au taux d’activité réellement exercé.
Dans l’entreprise, la retraite progressive pourrait cohabiter avec le TAR, intégré à notre accord GEPP, à charge pour le salarié de choisir l’un ou l’autre dispositif.

Ce que nous demandons à la Direction

Nous demandons à la Direction d’ouvrir rapidement la négociation “seniors” — désormais obligatoire — et d’y intégrer la retraite progressive afin d’accompagner les salariés dans la mise en place d’un dispositif pertinent et profitable à tous, y compris aux nouveaux entrants qui seraient mieux accompagnés dans l’appropriation des savoirs.

Besoin d’éclaircissements ?
Pour toute question ou précision, rapprochez-vous de vos représentants CFDT.

Rendez-vous sur notre Site web et sur la Web App pour découvrir notre fiche pratique

Négociation Mobilité douce : Ouverture de la troisième négociation

Dès cette rentrée va s’ouvrir la troisième négociation sur la mobilité douce au sein d’AXA. La CFDT
a accompagné ce sujet depuis son émergence et cherche à obtenir que le dispositif initial soit optimisé, notamment par la possibilité d’y intégrer un abonnement annuel de transport en commun.

Un dispositif peu adopté

Aujourd’hui, cet accord compte moins de 500 salariés adhérents. Ce très bas niveau d’adhésion s’explique par le fait que le salarié qui entre dans le dispositif de l’accord doit renoncer à la prise en charge à 50 % de son abonnement de transport en commun. Ce n’est qu’à ce prix qu’il aura accès au budget annuel maximal de 500 € affecté à la prise en charge d’achats autour de l’utilisation de moyens de transport durables (vélo, trottinette, covoiturage…)


Des moyens jugés insuffisants
AXA a été précoce dans la mise en place du dispositif mais n’a pas mis les moyens suffisants pour qu’il soit réellement attractif : budget inférieur au plafond légal et refus de cumul avec l’abonnement annuel de transport. N’oublions pas que l’URSSAF fixe le plafond défiscalisé à 600 € sans abonnement de transport, mais le porte à 900 € avec abonnement.

Le prestataire Betterway

Concernant Betterway, organisme en charge de la gestion des prestations délivrées aux salariés qui adhèrent à l’accord, force est de constater qu’il suscite un taux de satisfaction très réduit. L’enjeu de la négociation sera donc aussi de le remettre en question ou, pour le moins, d’obtenir qu’il se montre à la hauteur des enjeux.

La position de la CFDT
La CFDT va de nouveau argumenter et revendiquer l’intégration de l’abonnement aux transports, sans lequel l’attractivité de l’accord est très limitée. Nous refusons de croire que la Direction propose un accord dans un seul objectif d’affichage tout en le vidant de son intérêt pour la plus grande partie des salariés.

Télétravail : Début du vendredi sur site imposé 


En ce mois de rentrée, commence à s’appliquer le principe d’un vendredi de présence sur site chaque mois. Avant la période estivale, nous avons dénoncé cette mesure dont ni le principe ni les modalités n’ont été négociés avec les signataires de l’accord Télétravail, ce qui en dit long sur la conception du dialogue social dans notre entreprise.

Dialogue social : la position de la CFDT

Comme à l’extérieur de l’entreprise, la CFDT considère que seul un véritable dialogue peut être source de cohésion, d’acceptation des mesures mises en place et d’appropriation d’un esprit d’entreprise. À défaut, la Direction ne gagnera que la défiance des salariés. À ce titre, l’annonce très prématurée d’un retour à 2 jours de télétravail alors que l’accord actuel (2 jours sur site) doit vivre encore plus de deux ans, nous apparaît être une faute.

Négociation 2027 : cap maintenu

Nous ne connaissons pas le contexte dans lequel se déroulera la négociation de fin 2027, mais nous n’abandonnons pas notre objectif de maintien des acquis.

Pour l’heure, n’oubliez pas que le vendredi mensuel sur site n’est en aucun cas un jour de présence obligatoire supplémentaire sur site ! Si vous constatez une dérive, n’hésitez pas à le signaler à vos élus CFDT.

Chèques Noël 2025

Les inscriptions aux Chèques Noël 2025 du CNI sont ouvertes.
Jusqu’au 30 septembre 2025.
Pour être sûr d’en profiter, inscrivez-vous dès maintenant

Point de vue cadre – L’encadrant empêché d’animer

Le manager doit répondre aux objectifs, avec des moyens réduits, en appliquant la méthode qu’on lui impose, perdant sa fonction d’animateur pour devenir garant de la productivité et donc comptabilisateur de tâches. 

Motivation

Avec l’autonomie nécessaire pour atteindre les résultats souhaités dans un contexte contraint, le manager peut exprimer son talent en stimulant son équipe pour en tirer le meilleur, en mettant en place une organisation adaptée. Cela lui apporte une motivation qui lui permet d’accepter les aspects plus difficiles du poste (charge de travail, objectifs imposés, faiblesse des moyens …).

Mais cette autonomie ne lui est plus accordée.

Problème

L’évolution des tâches demandées au manager, et leurs conditions d’exercice expliquent une perte d’intérêt pour la fonction : 

  • Travail de supervision plus que d’animation
  • Surcharge de travail, complexité des tâches
  • Cadrage des processus plus étroits et manque de marge de manœuvre
  • Ressources à disposition moins nombreuses, manque de formation et d’accompagnement

Ces facteurs témoignent d’un «empêchement» au management, une entrave pour diriger et animer l’action de son équipe.

Mécontentement

Cette désaffection était déjà pointée dans une étude de 2022, elle indiquait que 41 % des managers considèrent leur fonction comme inutile dans le monde du travail actuel et 62 % des non-managers ne souhaiteraient pas le devenir s’ils en avaient la possibilité. 

Cette tendance ne faiblit pas et le salarié ayant les meilleures capacités à manager serait tenté de renoncer à l’encadrement faute d’autonomie suffisante. 

ÉDITO N°44 – Mai 2025

Avec le printemps revient la saison des résultats de l’intéressement/participation. Cette année les nouvelles sont plutôt bonnes, voire très bonnes. Si la participation diminue, ce retrait est largement compensé par l’augmentation du résultat de l’intéressement qui permet d’aboutir au global à un taux de 10,7%. Ce résultat se traduira par un versement d’en moyenne 12% supérieur à celui de l’exercice précédent, lui-même déjà en net progrès. Ce résultat s’explique notamment par le nouvel accord d’intéressement signé par la CFDT qui intègre une hausse du plafond cumulé de l’intéressement et de la participation. Pour autant, cette satisfaction ne doit pas faire écran et dissimuler les insuffisances d’une politique salariale qui doit demeurer l’Alpha et l’Omega de la rémunération du travail. L’intersyndicale sur les salaires se poursuit et nous y revenons dans nos développements. Autre sujet de préoccupation, la volonté affirmée au plus haut niveau du Groupe de faire revenir les salariés sur site 3 jours par semaine. Dans ce contexte, nous devons être plus vigilants que jamais et nous attacher à faire respecter l’accord en cours chez Axa France.

Christophe Vercoutère

Intéressement/Participation : Un résultat réjouissant


L’augmentation du plafond l’intéressement/participation actée dans le dernier accord signé par la CFDT, combiné à votre implication dans la réalisation des objectifs fixés (apurement des mails, formations…) a permis d’atteindre un nouveau niveau historique de l’intéressement/participation à 10,7%. Cela équivaut en moyenne à une progression de 12% des versements par rapport à l’exercice précédent.

Ce résultat dont se réjouit la CFDT ne doit en rien occulter le caractère central du salaire comme élément de rémunération. Seul le salaire assure une récurrence dans l’évolution et des droits sociaux qui ne sont pas attachés à l’intéressement/participation (ex : retraite). 

Rappel des taux récents :

10,00%
pour 2023
(versé en 2024)

9,72% 
pour 2022
(versé en 2023)

8,54% 
pour 2021
(versé en 2022)

8,33% 
pour 2020
(versé en 2021)

Que faire de ces sommes ?

Comme chaque année, vous pourrez choisir de percevoir ces sommes, qui seront alors fiscalisées au titre de votre impôt sur le revenu, ou faire le choix de les placer dans votre Plan Épargne Entreprise. L’opération REFLEX qui vous permettra de faire votre choix de déroulera du 4 au 20 juin 2025.

Un placement à optimiser avec le PERECO

Si vous avez la possibilité de mobiliser 850€, placez cette somme dans votre PERECO pour bénéficier d’un abondement du même montant (Principe : abondement de 100% dans la limite de 850€).

Si vous souhaitez souscrire à l’opération Shareplan, vous devez, lors de l’opération REFLEX, affecter les sommes que vous souhaitez y consacrer sur le fonds Euro 4M du PEG. Puis, à partir du 11 septembre, et pendant une quinzaine de jours, vous aurez la possibilité d’investir les sommes ainsi réservées dans l’une des deux offres suivantes :

Pour chaque action achetée avec décote, vous bénéficierez d’une action gratuite (dans la limite de 20 actions gratuites).

Cette option sera donc particulièrement intéressante puisque, au-delà des actions gratuites supplémentaires, vous percevrez ensuite les dividendes sur 40 actions et pas seulement sur 20 achetées.

Cette offre sera assortie d’une « Garantie Plus » qui garantit un gain minimal à terme (+3% par an sur l’apport du salarié).

INTERSYNDICALE SUR LES SALAIRES  : Où en est-on ?


Après avoir fait le choix de ne pas signer l’accord salarial, la CFDT a entendu la demande de nombre d’entre vous de ne pas nous limiter à cette non-signature. En effet, vous avez exprimé le souhait d’une position plus offensive à travers des initiatives faisant connaître à la Direction l’ampleur de votre mécontentement.

Dans cette logique, a été « bâtie » une intersyndicale des organisations non-signataires (CFDT, FO, UDPA-UNSA, CGT) qui a ouvert une pétition ayant recueilli 4.327 signatures adhésion reconnue significative par tous, y compris par Guillaume BORIE.

Guillaume BORIE a fait le choix de donner sa réponse à nos revendications au CSE Central du 13 mai. Dans l’intervalle, l’intersyndicale a prolongé son action en se rendant à l’Assemblée Générale des actionnaires du 24 avril pour faire connaître aux actionnaires ses demandes pour les salariés, et son ambition d’une répartition plus équilibrée des fruits du succès de l’entreprise.

Lors du CSE du 13 mai, Guillaume Borie a tenu parole en venant présenter la position de l’entreprise sur les revendications formulées par l’intersyndicale.

Malheureusement, si Guillaume Borie a annoncé de bonnes nouvelles, elles ne répondent en rien aux demandes formulées.

Le premier point abordé par Guillaume BORIE concerne le résultat de l’intéressement/participation qui atteint un niveau historique avec 10,7%. Cette véritable bonne nouvelle est le fruit d’un accord signé par la CFDT bien en amont de la négociation salariale. Ce sont bien les termes de l’accord signé bien avant la négociation salariale qui produisent ce résultat.

Affirmer que l’intéressement/participation pourrait répondre à des revendications nées de l’échec de la négociation salariale reviendrait à dire qu’une réponse peut précéder la question !

Là où par le passé nous avons connu à deux reprises l’octroi de 50 actions gratuites, l’offre est cette fois circonscrite aux salariés qui investissent dans l’entreprise et est limitée à 20 actions. Par ailleurs, il s’agit d’une opération mondiale bien évidemment étrangère aux revendications formulées au sein de l’entité Axa France. Cette logique exclut de fait les salariés dont les ressources sont les moins importantes et constitue une prime à l’investissement, mais en aucun cas une reconnaissance du travail accompli.

L’entreprise refuse donc d’entendre les signataires de la pétition et leurs revendications. Sans doute considère-t-elle qu’elle sort plus forte en résistant à l’expression massive des salariés.

Le risque de cette posture réside dans le fait que les salariés ne se sentent pas considérés et  voient faiblir leur attachement à l’entreprise. En résumé, la Direction prend le risque d’une victoire à la Pyrrhus ! L’intersyndicale a prévu de se réunir prochainement pour déterminer les éventuelles suites de son action concertée. 

Quelle que soit votre perception de la situation, n’oubliez pas que le nouveau Pulse est en ligne et que, par l’expression de positions très claires, il permet de faire passer certains messages.