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Auteur/autrice : Isabelle Ollivier

Regroupement des activités Habilitations au sein de la DT2 : la Cfdt exige plus de transparence et de soutien

Une Réorganisation sous haute surveillance

Le 11 juin dernier, la Direction présentait au CSE Central un projet majeur de regroupement des administrateurs délégués d’AXA France au sein de la DT2. Aujourd’hui, après plusieurs mois de mise en œuvre, la Cfdt dresse un bilan critique de cette réorganisation qui, malgré des promesses de simplification, suscite de nombreuses inquiétudes parmi les salariés. Notre organisation syndicale reste vigilante face aux impacts sur les conditions de travail et exige des garanties concrètes pour l’avenir.

Cette transformation touche directement les Fonctions Centrales de l’entreprise et concerne 24 collaborateurs répartis en deux équipes. Si les objectifs affichés – homogénéisation des pratiques, simplification des processus et regroupement des activités – semblent louables sur le papier, la réalité du terrain révèle des tensions importantes que la Cfdt ne peut ignorer.

Les promesses non tenues : quand la simplification devient complexité

Un stress croissant et une charge de travail insoutenable

Contrairement aux affirmations rassurantes de la direction, la Cfdt constate que cette réorganisation génère un stress considérable parmi les salariés concernés. Les Administrateurs Délégués, désormais appelés « Organisateurs », font face à une augmentation significative de leur charge de travail. En effet, ils doivent désormais gérer des activités supplémentaires comme la création dans le ROI pour les acteurs externes et la gestion d’Archibus, tâches qu’ils n’effectuaient pas auparavant.

Par ailleurs, la période de révision des habilitations, qui implique la recertification de 35 000 comptes avec environ 50 clics par collaborateur, représente une charge colossale répartie sur seulement 24 personnes. La Cfdt dénonce cette situation inacceptable où les salariés sont soumis à une pression excessive pendant deux mois chaque année. Nous exigeons que la direction mette en place des solutions pérennes pour alléger cette charge inhumaine.

Un changement de fonction vécu comme une dévalorisation

La Cfdt relève également que le passage de la fonction de « Chef de Projet Habilitation » à celle d’Organisateur » a généré un profond sentiment de dévalorisation chez les salariés. Onze collaborateurs sur vingt-quatre ont vu leur fonction modifiée, et pour certains, leur poste a été changé sur la fiche de paie, alors qu’on leur avait promis que seule la fonction serait impactée. Cette communication défaillante de la direction est inacceptable.

De surcroît, l’absence de fiches de poste claires expliquant précisément les nouvelles fonctions et responsabilités accentue le malaise des équipes. La Cfdt exige que la direction fournisse une documentation complète et transparente sur ces nouveaux rôles.

Le recours massif à la prestation : une stratégie questionnable

La Cfdt s’interroge sur le choix de recruter trois prestataires en assistance technique plutôt que de favoriser des recrutements internes ou des mobilités au sein d’AXA France. Cette décision, justifiée par des délais courts, pose la question de la pérennisation de ces postes et de leur éventuelle internalisation future. Notre organisation syndicale rappelle que le recours systématique à la prestation fragilise l’emploi stable et prive les salariés d’AXA d’opportunités de mobilité.

Bien que la direction affirme qu’une partie de ces postes pourrait être pérennisée et que des recrutements internes sont envisagés pour remplacer les départs en retraite prévus, la Cfdt reste vigilante et demandera des points de situation réguliers sur ce sujet.

Un processus de simplification qui complique tout et des irritants reconnus mais non résolus

Le nouveau processus d’habilitation, censé être plus simple, s’avère en réalité plus complexe et plus long à mettre en œuvre selon les retours des salariés organisateurs. Les tests effectués n’ont pas été concluants, obligeant la direction à repousser le déploiement. La Cfdt salue cette prudence, mais reste dubitative quant aux résultats futurs de ce projet.

Un pilote est prévu en décembre avec une vingtaine de collaborateurs avant une éventuelle généralisation au premier trimestre 2026. Néanmoins, la Cfdt exige d’être associée étroitement au suivi de ce pilote et demande un retour en CSE dans les six mois pour évaluer les impacts réels sur la charge de travail et la qualité de vie des salariés.

Des spécificités non traitées pour trois directions

La direction a sagement décidé de temporiser le déploiement du nouveau processus pour le Secrétariat Général, l’ASC et la DT2 en raison de leurs spécificités techniques et organisationnelles. Cependant, la Cfdt constate que cette situation crée une hétérogénéité dans le traitement des équipes et s’inquiète du calendrier flou pour l’intégration de ces trois directions. Nous exigeons une feuille de route claire avec des échéances précises pour 2026.

Les revendications de la Cfdt : pour des conditions de travail dignes

Face à cette situation préoccupante, la Cfdt formule plusieurs revendications fermes auprès de la direction :
– Un allègement immédiat de la charge de travail pendant les périodes de révision des habilitations. L’automatisation promise doit devenir une priorité absolue, et des ressources supplémentaires doivent être mobilisées pour soulager les équipes durant ces périodes critiques.
– La mise en place d’un accompagnement psychologique pour les salariés en situation de stress intense et la création d’espaces d’écoute et de dialogue au sein des équipes. La santé mentale de nos collègues n’est pas négociable.
– Une revalorisation des fonctions et une reconnaissance claire des compétences des Administrateurs Délégués, désormais Organisateurs. Les fiches de poste doivent refléter la réalité du travail accompli et les classifications salariales doivent être revues en conséquence.

Plus de transparence et d’investissement de la Direction

La Cfdt exige également que la direction investisse massivement dans l’outillage et l’automatisation des tâches répétitives. Il est inadmissible que des salariés passent l’essentiel de leur temps à effectuer des saisies manuelles et des ressaisies redondantes au détriment de tâches à plus forte valeur ajoutée comme la révision des matrices d’habilitation.

Par ailleurs, notre organisation syndicale demande une transparence totale sur le ratio interne/externe au sein des activités d’habilitation, avec un détail précis entre salariés en assistance technique, en forfait, et les éventuelles externalisations vers le Maroc. Nous n’accepterons aucune stratégie d’externalisation déguisée.

La Cfdt reste mobilisée et exigeante

La Cfdt a obtenu un engagement ferme de la direction pour un nouveau point d’information au CSE dans les six mois. Nous veillerons scrupuleusement à ce que cet engagement soit tenu et à ce que les indicateurs présentés reflètent la réalité du terrain. Les chiffres actuels, bien qu’apparemment satisfaisants sur les délais d’octroi des habilitations, ne doivent pas masquer la souffrance des salariés et la dégradation de leurs conditions de travail.

De plus, la Cfdt suivra avec la plus grande attention le déploiement du pilote en décembre et n’hésitera pas à demander l’arrêt du projet si les irritants identifiés ne sont pas résolus de manière satisfaisante. La qualité de vie au travail de nos collègues prime sur les impératifs d’efficacité opérationnelle.

Enfin, la Cfdt n’hésitera pas à monter au créneau et à envisager toutes les actions nécessaires pour défendre les droits et la dignité des salariés des fonctions centrales d’AXA France, Si les conditions de travail continuent à se dégrader, si la charge mentale des salariés n’est pas prise en compte sérieusement, et si les promesses d’amélioration restent lettre morte, Les administrateurs délégués et organisateurs méritent respect, reconnaissance et conditions de travail décentes. La Cfdt sera à leurs côtés pour porter leurs voix et obtenir des avancées

Réorganisation du Secrétariat Général : la Cfdt appelle à la vigilance

Une Restructuration qui Interroge l’Avenir des Salariés

La Cfdt a rendu un avis d’abstention lors de la consultation portant sur le projet d’évolution d’organisation du secrétariat général d’Axa France. Cette restructuration majeure, présentée devant le CSE, vise à simplifier l’organisation interne en réduisant le nombre de directions de 10 à 8 et à regrouper plusieurs activités autour de périmètres cohérents. Néanmoins, cette transformation soulève de nombreuses interrogations quant à ses impacts réels sur les conditions de travail des salariés et la qualité du service rendu.

Malgré les objectifs affichés d’homogénéisation des pratiques et de clarification des rôles, notamment au sein des équipes Compliant Business Partners (CBP), la Cfdt reste particulièrement préoccupée par plusieurs aspects de ce projet. D’une part, le manque de communication et de transparence ressenti par les salariés est alarmant. D’autre part, certaines décisions organisationnelles, comme le rattachement de la déontologue, posent question quant au maintien de l’indépendance et de l’éthique au sein des fonctions centrales.

Les inquiétudes majeures : communication défaillante et risques psychosociaux

L’enquête menée auprès des salariés révèle une situation préoccupante en matière de communication. Près d’un tiers des collaborateurs déclarent ne pas avoir été correctement informés du projet, tandis qu’une majorité exprime une absence d’opinion quant à l’intérêt réel de cette réorganisation. Ce déficit d’information génère inévitablement une méconnaissance des enjeux et des conséquences concrètes sur leur quotidien professionnel, alimentant un climat d’incertitude particulièrement néfaste.

Par conséquent, la Cfdt dénonce vigoureusement cette situation qui révèle un manque flagrant de transparence dans la conduite du changement. Les salariés expriment légitimement des inquiétudes quant à la compatibilité de cette réorganisation avec leurs conditions de travail actuelles et leurs perspectives professionnelles. La perte de prérogatives pour certains managers constitue également un sujet d’alerte majeur, susceptible de générer des risques psychosociaux importants. Dans ce contexte, la Cfdt exige un accompagnement personnalisé pour chaque salarié impacté, incluant des formations adaptées et une révision des objectifs individuels tenant compte des nouvelles réalités organisationnelles.

L’externalisation au Maroc : des difficultés qui appellent à la ré-internalisation

La situation particulière de la direction Solutions Numériques et Paiement, dont une partie des activités a été externalisée au Maroc via Access Services Maroc (ASM), illustre parfaitement les risques d’une externalisation précipitée. Les difficultés rencontrées en termes de qualité de service, notamment sur la gestion des alertes de niveau 1, et le turnover élevé constaté au sein des équipes marocaines démontrent les limites de ce modèle. Ces problèmes impactent directement la charge mentale des collaborateurs français, contraints d’assurer un contrôle renforcé pour compenser les défaillances du prestataire.

Bien que la direction affirme que des recrutements sont prévus chez ASM pour résoudre ces difficultés et que ces mesures seraient temporaires, la Cfdt exige une transparence totale sur cette stratégie d’externalisation. Aucune analyse précise des coûts et des bénéfices n’ayant été communiquée, il devient impossible d’évaluer objectivement la pertinence de ce choix. Pour la Cfdt, la solution la plus efficace pour limiter le turnover et améliorer la qualité de service consisterait incontestablement à rapatrier ces activités en France, garantissant ainsi des emplois pérennes et un service de qualité optimale pour nos assurés.

Charge de travail et perspectives : des salariés sceptiques face au changement

Les résultats de l’enquête sur la réorganisation confirment une tendance particulièrement inquiétante : les salariés ne croient pas que cette évolution réduira leur charge de travail. Au contraire, une majorité la juge déjà élevée et craint une détérioration supplémentaire de leurs conditions d’exercice. Cette perception négative révèle un décalage préoccupant entre les objectifs affichés par la direction et les attentes concrètes des collaborateurs sur le terrain.

Face à cette situation, la Cfdt exige des garanties concrètes et mesurables sur l’amélioration des conditions de travail. Nous demandons formellement un point d’avancement dans les six mois suivant la mise en place de la nouvelle organisation, permettant d’évaluer objectivement les impacts réels sur la charge de travail, la qualité de service et le bien-être des salariés. Cette évaluation devra impérativement intégrer des indicateurs précis et un dialogue social constructif pour ajuster rapidement les dispositifs si nécessaire. La Cfdt ne laissera pas les salariés porter seuls le poids de cette transformation organisationnelle.

Une abstention vigilante et des exigences concrètes

Après avoir analysé en profondeur ce projet de restructuration lors de la consultation au CSE, la Cfdt a décidé de rendre un avis d’abstention. Cette position reflète notre compréhension partielle des objectifs de simplification et d’homogénéisation, tout en exprimant clairement nos réserves profondes sur plusieurs aspects cruciaux du projet. Nous exigeons une communication transparente, des garanties stables concernant l’emploi et la préservation des acquis professionnels, ainsi qu’un accompagnement renforcé de tous les salariés impactés.

La Cfdt appelle la Direction à prioriser systématiquement la protection des salariés et la pérennité des missions essentielles, notamment celles liées à l’éthique, à la conformité et à la qualité de service aux assurés. Nous resterons extrêmement vigilants dans le suivi de la mise en œuvre de cette réorganisation et n’hésiterons pas à interpeller fermement la direction si nos exigences ne sont pas satisfaites. Les Fonctions Centrales du Secrétariat Général jouent un rôle stratégique pour notre entreprise : leur efficacité ne doit jamais se faire au détriment du bien-être et des droits fondamentaux des collaborateurs qui les animent au quotidien.

DIJON : vie du site

Chauffage

La question du chauffage des locaux pose un réel problème ; certains jours, il ne fait que 17° dans les bureaux. En cause, les CTA qui sont hors service mais que le propriétaire ne veut pas changer.

Le cadre de vie a pris le point et des procédures/démarches sont en cours telles que : LR, huissier, séquestration des loyers….

Grâce à l’alerte de vos élus Cfdt, le lendemain, une solution a été trouvée pour le retour de la température à la normale : les procédures et démarches, elles, continuent.

NANCY : espaces de détente

Le réaménagement des espaces de détente et du lounge a rencontré un vif succès auprès des salariés; d’autres travaux sont en cours ou prévus pour 2026 tels que la gradation des éclairages dans les salles de réunion.

WASQUEHAL : information de votre site

Flottes et recharges électriques :

Le projet de verdissement de la flotte automobile se poursuit : essence → hybride rechargeable → électrique.
En parallèle, une planification et un système de réservation des bornes de recharge électriques sur le site devraient voir le jour d’ici fin janvier ; les réservations pour les véhicules à usage professionnel seront possibles 2 semaines à l’avance jusqu’à la veille ; en revanche, pas de réservation possible pour les véhicules à usage personnel mais possibilité d’utiliser les bornes laissées libres le jour même.
A noter que la réglementation devrait évoluer et considérer que le rechargement gratuit constitue un avantage en nature ; à suivre…

Casques filaires

Le déploiement de casques filaires au niveau du service Auto corporels a mis à jour un certain inconfort (poids…), bruits ambiants perçus par les intermédiaires en ligne ; cela a été résolu par l’installation d’un logiciel de suppression du bruit ; le problème de confidentialité lors d’échanges avec les intermédiaires a également été remonté au sein d’autres services, et lors du dernier CSE.

Fresh Cup

L’installation et la mise en service sont terminées ; un système a été installé pour limiter la pression dans les machines et le problème d’accès à la fresh cup est en cours d’étude.

Travaux, aménagement d’espaces, ergonomie au poste de travail

L’évolution des travaux au niveau des pompes à chaleur est quasi conforme au planning initialement prévu par l’entreprise et pour limiter la gêne occasionnée, un système de chauffage d’appoint et des horaires décalés pour les percements ont été prévus.
Du fait des travaux, une fermeture du restaurant est prévue du 22 décembre au 5 janvier ; la mise à disposition de plateaux repas par Sodexo avec réservation du menu va se faire.
En parallèle, un projet d’aménagement des espaces de travail au 3ème étage du bâtiment Marne-Cartelot est en cours d’étude en prévision de l’arrivée de 18 nouveaux postes ; outre la contrainte en matière de places, un étude acoustique complémentaire doit être menée.
Concernant les nuisances liées à la salle pause-café du 1er étage du bâtiment Cottignies, des propositions ont été émises et seront étudiées.
Enfin, de manière plus générale, des actions sont à l’étude en matière d’ergonomie au poste de travail ; un ergonome et un ostéopathe viendront sur site afin d’aborder les problématiques et solutions AD HOC.
En revanche, un point reste toujours en suspens, celui du manque de visibilité à la sortie du parking, point qui doit être vu par la Métropole Européenne de Lille.

Animation, activités

Diverses animations/activités (ventes, potager, cours de cuisine…) sont réalisées en partenariat bien souvent avec les collaborateurs ; s’ajoute à cela un réaménagement des salles de détente, la finalisation d’une salle d’allaitement…

Vie des sites du SUD EST

LYON

Vos élus demandent que soit mis à disposition du service Développement, un local de stockage.
La Direction refuse car ce service dispose déjà d’un espace de stockage de 17m² au 19ème étage et doit rationnaliser son stockage du fait du passage en Smart Working de l’immeuble.

Travaux sanitaires site de Lyon

Les travaux de peinture ont commencé le 12/11 pour une durée de 5 semaines (5 étages).
Vos élus ont demandé le rapatriement de la bibliothèque du site de Nîmes vers le site de Lyon lorsque le l’emplacement sera disponible au 10ème étage.

Campagne de vaccination antigrippale

Nîmes : a eu lieu le 4/11. 12 PA et 1 PC inscrits et vaccinés.
Lyon : 20/11 54 PA et 5 PC inscrits
Marseille : 25/11 34 PA et 2 PC inscrits

Assistante sociale sur le site de Marseille

Aurélie PAUCHET sera la nouvelle assistante sociale. Les horaires et les jours de permanences restent inchangés.

Service Médical sur le site de Marseille

Le service médical de Marseille a déménagé. Les futurs rendez-vous auront lieu dans les locaux de l’AISMT, 13 avenue Robert Schuman dans le 2ème arrondissement. Toutes les coordonnés ici.

Visite inspection du site de Nîmes

D’un commun accord entre les Organisations Syndicales et la Direction, il n’y a pas eu de visite du site puisque aucun changement ni aucune remontée particulière n’ont été faites depuis la dernière visite .

Par contre, nous demandons à la Direction comment remédier aux différences de températures d’un espace à l’autre, et d’un moment à l’autre de la journée ?
Mais la Direction dit ne pouvoir faire mieux et que les salariés ont des thermostats à disposition.
Ces dernières semaines les salariés ont rencontré des problèmes de places disponibles dans le parking souterrain. Là-dessus, la Direction rappelle qu’en cas de difficultés à trouver une place, les salariés du site peuvent se rendre au parking de la gare et faire une note de frais.

Enveloppe de frais épuisée

Un salarié avec moins de 6 mois d’activité et des résultats à 290% d’OMP se retrouve avec une enveloppe de frais épuisée.
Au 1er octobre, après prise en compte de ses frais de septembre, il lui restera pour 3 mois une enveloppe de 569,36€, soit 189,78€ par mois jusqu’à décembre (Depuis le mois d’août, il rentre manger chez lui quasi tout le temps pour garder du budget).
Ce salarié a remonté le point à son IMC.

La procédure passe par l’IMC avec le maximum d’éléments, la Direction étudie la possibilité d’un véhicule de fonction (si l’enveloppe est utilisée pour les IK) et la demande de dérogation est faite au DC. Les dérogations regardées seront celles dont le collaborateur a déjà un véhicule de fonction.

Evolution des espaces de travail

Projet d’évolution du site de Lyon.

Le sujet a été instruit lors de la séance du 20/10 et une synthèse a été présentée lors de l’instruction en CSEC le 4/11. Vos élus ont voté :10 votes d’abstention et 8 votes favorables.
Nous demandons qu’il y ait un vrai point d’attention afin que la Direction reste à l’écoute sur les aménagements à venir et les regroupements des équipes.

Projet d’aménagement du site de Marseille

Le label vélo sera attribué au site de Marseille le 14/11 à la suite de l’audit.

Point sur les prochaines étapes (GO SMART, prochaines vagues) :

Fait marquant le 18/11 : Go Smart de la vague 2 : installation au CG1 – R+2.
L’équipe Smartworking a prévu de nouveaux créneaux de formation aux outils digitaux.
Les 2 Bubble ne seront pas finalisés la semaine de l’emménagement, dans l’intervalle, ils seront équipés d’une table et de chaises.
Les paliers des ailes nord et sud seront en travaux après l’installation en smartworking des équipes à l’étage 2 du CG1. Il sera demandé aux salariés nouvellement installés à cet étage de rester en télétravail certains jours compte-tenu du bruit que généreront les travaux.

Le 20/11 : Accompagnement de la vague 3 en zone tampon. Mi-janvier sont prévus des ateliers de pré cadrage et de concertation plateau sur les points d’ancrage avec les managers de cette vague. Pour tous, il y aura des ateliers d’appropriation des espaces et des ateliers sur l’outil AXA Smart Desk.

Le 3/02 : Go Smart de la vague 3.